Je vous écris de Paris, face à la gare du Nord. Je suis actuellement pleine de doutes, de peurs et d’excitation.
Si vous me suivez depuis un moment, vous savez que mon business est en croissance, et c’est challengeant.
Jusqu’ici j’ai freiné mes ambitions pour plusieurs raisons :
Je suis maman de 2 adorables enfants, et je n’étais pas prête à activer la seconde dans mon job au détriment de ma présence pour eux. Ils ont aujourd’hui 12 et 15 ans, et ils ont de moins en moins besoin de moi, (en terme de présence physique.)
J’étais bourrée de croyances : syndrome de l’imposteur, de la bonne élève, du grand coquelicot, peur de l’échec, peur de réussir… Bref ! Je me mettais des barrières mentales partout et ça m’empêchait d’avancer.
Qui dit croissance, dit risque plus grand, et investissements plus importants. J’avais peur !
Mon business modèle précédent (graphiste, webdesigner) n’était pas “scalable”.
Je stagnais donc à 100K€ annuel avec une rémunération confortable et une entreprise rentable, mais sans challenge.
Aujourd’hui, j’ai envie de tester des modèles plus grands, de voir jusqu’où je peux aller. Et j’ai peur ! Évidemment.
Déléguer
Ce mot me donne des frissons, tellement j’aime contrôler et garder la main sur mes projets. J’ai d’ailleurs conscience que j’ai déjà raté de belles opportunités à cause de ça ! On dit souvent que notre entreprise est notre bébé. C’est un peu ça. Déléguer pour moi, c’est comme si je confiais mon bébé à des inconnus. Ça me fait peur.
Pourtant, j’ai bien conscience que jamais je ne pourrai dépasser les 15k€ sans passer ce step.
Je choisis donc aujourd’hui de m’entourer. Et comme toujours, je ne fais pas les choses à moitié.
J’ai identifié mes besoins, et je pense démarrer avec :
Une assistante virtuelle
Un monteur pour mes vidéos
Une ghostwriteuse pour 2 posts/semaine
Une OBM en soutien pour mon business
Ce qui représente un budget mensuel d’environ 5000€/mois, mais j’ai pour optique d’atteindre 20 000€ de CA sur mes prestations d’OBM.
Mes projets
Un podcast
Je n’avais pas prévu d’en lancer un. Je ne voulais pas me disperser. Mais face aux nombreux messages que je reçois, je pense que ça peut être utile à beaucoup.
Ça fait 9 ans que je suis à mon compte, et je pense être en mesure de vous faire quelques retours précieux pour vos business.
Beaucoup me demandent comment j’ai atteint les 100k€.
Comment j’ai pris mon virage.
Comment je trouve mes clients.
Comment j’ai fait péter mes barrières.
Quel est mon quotidien aujourd’hui…
Je vais commencer par répondre à vos questions récurrentes. D’ailleurs si vous souhaitez que j’aborde un sujet en particulier, vous pouvez m’écrire sur sophie@lachouettecreative.com
De plus, je vais le créer en format vidéo pour que ça me challenge. Je me lance sans objectif de vues et d’écoutes. Je serai seule au micro pour le moment, et je prévois de faire ça chez moi pour limiter les frais au maximum.
Je me donne un trimestre pour voir.
Et je verrai à l’issue des 3 mois si je poursuis ou non ce format, selon ce qu’il m’apporte et ce qu’il vous apporte. Si je poursuis, je chercherai un ou plusieurs sponsors pour financer le montage. (à moins que vous ayez envie de le sponsoriser dès aujourd’hui 🙂)
Un collectif ou une agence
J’envisage ces 2 formats, avec une grosse réticence sur le format agence car il m’obligerait à gérer énormément l’humain. J’ai demandé à Chat GPT d’analyser les 2 business modèles et voici ce qu’il m’a sorti :
L’apport d’affaires
Avantages
Faible investissement initial : Ne nécessite pas de coûts élevés pour démarrer.
Revenu passif : Peut générer des revenus passifs réguliers sans besoin de travailler activement sur chaque projet.
Réseau élargi : Renforce les relations avec d’autres professionnels du secteur.
Inconvénients
Dépendance aux partenaires : Le revenu dépend de la performance des partenaires.
Contrôle limité : Moins de contrôle sur la qualité des services rendus par les partenaires.
Simulation
Commission moyenne : 10% du chiffre d’affaires des partenaires.
Nombre de partenaires : 10 partenaires actifs.
CA moyen des partenaires : 5000€ par mois.
Revenu mensuel : 10 partenaires x 5000€ x 10% = 5000€
MRR (Monthly Recurring Revenue) : 5000€
Marge brute : Très élevée (95%) car les coûts sont principalement administratifs.
Stratégie
Sélection rigoureuse des partenaires : Assurer la qualité et la fiabilité des partenaires.
Contrats formels : Établir des contrats clairs et précis avec les partenaires.
Suivi et support : Offrir un suivi régulier et un support aux partenaires pour maximiser les performances.
Création d’une agence OBM
Avantages
Évolutif : Possibilité d’augmenter le nombre de clients sans augmenter proportionnellement la charge de travail.
Diversification des services : Offre une gamme variée de services pouvant attirer différents types de clients.
Inconvénients
Investissement initial : Coûts liés au recrutement, à la formation et à la gestion des employés.
Complexité de gestion : Nécessite une gestion rigoureuse des ressources humaines et des opérations.
Formation et standardisation : Développer des protocoles et des formations pour assurer une qualité de service uniforme.
Marketing ciblé : Utiliser LinkedIn et d’autres plateformes pour attirer des clients intéressés par des services OBM.
Outils de gestion : Implémenter des outils de gestion de projet pour améliorer l’efficacité et la transparence.
Je pense démarrer par l’apport d’affaires et si l’envie me prend, en fonction des profils d’OBM qui me plaisent et des demandes, je basculerai vers un modèle agence.
Parlons chiffres
Je suis actuellement à 15k€/mois. J’aimerais sécuriser 20k€ à 25k€/mois d’ici la fin de l’année et stabiliser l’an prochain. D’ici fin 2025, j’envisage de développer des conférences, peut-être une formation en ligne, ou des séminaires business pour atteindre 30k€/mois. Et ce sera déjà pas mal ! 😊
Conclusion
J’ai un plan.
Mais on sait tous que les plans sont toujours parfaits sur le papier mais loin de la réalité. C’est la raison pour laquelle j’ai peur, et la raison pour laquelle je n’ai jamais ressenti autant la solitude de l’entrepreneur.
C’est excitant d’imaginer un nouvel idéal de vie, de business et de salaire, mais j’ai conscience que ce parcours sera semé de problèmes à résoudre, de difficultés, de coups de mou, et peut-être d’échecs.
Malgré tout, j’ai envie d’essayer. Pour voir jusqu’où la petite Sophie peut aller. Et si ça ne marche pas, alors, on prévoira un plan B.
Depuis 3 mois, j’ai pris l’habitude de noter mes réflexions lors de mes collaborations, et audit clients. Je ne savais pas à quoi elles me serviraient. Je pense que j’ai commencé à en prendre pour m’améliorer moi-même.
Aujourd’hui, j’ai envie d’en faire un article complet, qui je l’espère vous aidera également.
Gérer un business et des équipes demandent une adaptation continue. Personne n’est parfait, et personne ne peut prétendre avoir toutes les réponses. Mais le partage de leçons et d’expériences peut permettre de s’améliorer.
Bonne lecture ! ❤️
1. Valoriser les « A-players »
Les « A-players » sont des personnes non seulement excellentes dans leur domaine, mais qui démontrent également une capacité exceptionnelle à stimuler la croissance et l’innovation autour d’eux.
Ce sont des éléments précieux pour l’entreprise car ils sont « Skin in the Game », c’est-à-dire qu’ils s’impliquent à 100% pour l’entreprise, qu’ils soient freelances ou salariés.
Ils sont souvent très engagés, motivés et créatifs, et leur impact est disproportionné sur les performances de leur équipe et de l’entreprise. Ils sont moteurs du changement, car ils prennent des initiatives, proposent des solutions novatrices, et motivent leurs collaborateurs par leur exemple.
Aussi, il semble très logique de mettre en place une rémunération qui reflète la valeur apportée par ces élites. Pourtant dans les faits, j’ai vu des choses bien différentes.
Payer vos meilleurs éléments à hauteur de leur implication est aussi un excellent moyen de les garder et d’éviter qu’ils ne vous soient « volés » par la concurrence.
Dans le livre « La règle pas de règles », les dirigeants de Netflix expliquent qu’ils ont fait le choix de ne s’entourer que de performants.
Ils ont licencié toutes les personnes « moyennes » pour ne s’entourer que de performants motivés, après avoir fait un constat : La performance est virale.
Selon leur analyse, pour faire performer son entreprise, il vaut mieux une petite équipe de personnes talentueuses, qu’une équipe hétérogène en matière d’intelligence et de motivation.
Si vous avez une équipe composée de personnes performantes et collaboratives, elles se pousseront mutuellement à se dépasser. Les meilleurs s’épanouiront davantage, iront plus vite et plus loin. Et un travail déjà bon, sera projeté à un niveau encore supérieur.
À l’inverse, une équipe composée d’un ou 2 membres, simplement moyens ou peu motivés, sera en sous performance. Le membre moyen fait baisser l’efficacité de tout le groupe, en sapant l’énergie de tous, et réduisant le QI global de l’équipe.
Ils ont constaté qu’accepter la médiocrité, même en petit nombre, c’était multiplier le problème.
Ils ont appelé ça : la densité de talents.
Si la méthode peut être débattue car plutôt radicale, ils expliquent qu’ils ont fait en sorte de conserver leurs talents en leur donnant des rémunérations justes et un travail stimulant. Et que grâce à cela, ils ont multiplié leurs résultats.
2. Pression vs. Stress toxique
Dans un environnement professionnel, la pression et le stress sont souvent confondus, mais leurs effets sur la performance et le bien-être des employés sont radicalement différents.
La pression est perçue comme un moteur de performance, un élément motivant qui pousse les individus à se surpasser et à atteindre des objectifs ambitieux. Elle est généralement liée à des défis et objectifs clairement définis et à des attentes réalistes, offrant un sentiment d’accomplissement une fois les objectifs atteints.
Je vous partage le lien de l’excellent post du Dr Fanny Nusbaum sur le sujet. Elle y parle des bienfaits du « stress ». Personnellement, j’aurais remplacé le terme « stress » par « pression », car les athlètes de hauts niveau vous le diront : rien n’est plus stimulant que la pression.
En revanche, le stress devient toxique lorsque les demandes excèdent de manière chronique les capacités d’une personne à y répondre. Il est souvent le résultat de délais irréalistes, de manque de ressources, ou de directives contradictoires, conduisant à l’épuisement professionnel et à une baisse de productivité.
Pour que la pression reste un catalyseur positif et ne dégénère pas en stress toxique, les managers et dirigeants doivent adopter des approches de gestion proactive :
Clarification des objectifs et des attentes : s’assurer que chaque membre de l’équipe comprend clairement ce qui est attendu de lui et dispose des ressources nécessaires pour accomplir ses tâches.
Communication ouverte : Encourager les feedbacks fréquents, où les employés peuvent exprimer librement leurs préoccupations ou demander de l’aide sans crainte de répercussions.
Équilibre travail-vie personnelle : Promouvoir un équilibre sain, des horaires flexibles ou la possibilité de télétravail, pour aider les employés à gérer la pression sans sacrifier leur bien-être personnel.
Un respect mutuel et de la reconnaissance : Respecter le travail de chacun, les forces, les faiblesses et être reconnaissant face au travail fourni.
3. L’innovation vient du désaccord et de la diversité d’opinion
Pour qu’une entreprise innove, il est important d’encourager le désaccord. Une culture de la parole ouverte permet aux collaborateurs de se sentir en sécurité lorsqu’ils expriment des idées divergentes ou des critiques constructives. Cela mène à des discussions plus riches et à des solutions plus créatives.
La diversité d’opinions, issue de différentes expériences, formations, et perspectives, est un réservoir d’innovation. Chaque point de vue peut révéler des angles morts dans les projets ou proposer des solutions inattendues à des problèmes.
Promouvoir l’initiative personnelle est également essentiel pour stimuler l’innovation. Cela peut être réalisé par des systèmes de récompenses qui reconnaissent non seulement les réussites mais aussi les efforts d’innovation, même quand ils ne mènent pas immédiatement à des résultats fructueux.
À l’inverse, si les collaborateurs sont systématiquement critiqués lors de la prise d’initiative, ils finiront par s’éteindre, et par perdre leur motivation et leur implication.
4. Une équipe performante et collaborative se pousse mutuellement à se dépasser
Les équipes performantes se distinguent non seulement par leur capacité à atteindre et dépasser les objectifs fixés, mais également par la manière dont elles interagissent et collaborent.
Ces équipes se caractérisent par une forte cohésion, un engagement commun envers la mission de l’entreprise, et un respect mutuel qui transcende les simples relations professionnelles.
L’entraide, la communication transparente, et la responsabilité partagée sont des piliers qui soutiennent leur succès.
Dans ces environnements, chaque membre se sent valorisé et comprend clairement comment sa contribution s’inscrit dans le tableau général de l’entreprise.
Favoriser un esprit de collaboration tout en maintenant une compétition saine au sein d’une équipe peut sembler paradoxal, mais ces deux éléments peuvent coexister et se renforcer mutuellement.
5. Nier le chaos ne résout pas le chaos
Dans le business, le chaos est inévitable, surtout dans les phases de croissance rapide ou de changement significatif.
Au lieu de le nier ou de tenter de l’éliminer complètement, il est plus intéressant de reconnaitre que certains degrés de désordre peuvent être catalyseurs de changement et d’innovation. Accepter le chaos comme une partie intégrante du processus de développement permet à une entreprise de rester agile et réceptive aux imprévus.
La clé pour gérer efficacement le chaos est de mettre en place des systèmes qui peuvent le canaliser vers des résultats productifs.
Cela inclut l’établissement de priorités claires, la mise en œuvre de processus de gestion de crise, et le développement d’une certaine flexibilité et la résilience.
Par exemple, des outils de gestion de projet ou les méthodes Agile peuvent aider les équipes à gérer des tâches complexes en les décomposant en composants plus petits et plus gérables, permettant ainsi un ajustement rapide aux conditions changeantes.
6. Privilégier les clients aux méthodes
Trop souvent, les entreprises se concentrent sur l’imitation des concurrents qui semblent réussir, sans vraiment comprendre les besoins uniques et les désirs de leurs propres clients. Pourtant, s’engager directement avec les clients pour découvrir ce qu’ils apprécient permet d’obtenir des insights inestimables.
L’engagement client doit aller au-delà des enquêtes et des hypothèses. Je recommande de vous engager dans de véritables conversations et de construire des relations à long terme.
Des techniques utiles incluent le développement de communautés, l’utilisation des réseaux sociaux mais également des rencontres et des échanges en tête à tête pour écouter activement vos clients.
Une fois que les besoins et désirs des clients sont compris, il est impératif de traduire ces découvertes en actions concrètes. Ca peut être l’adaptation de produits existants, le développement de nouveaux services, ou même la refonte complète des processus.
7. Vos besoins sont aussi importants que ceux des autres
Dans le leadership comme dans la gestion de projet, il est important de reconnaître que vous ne pouvez pas toujours plaire à tout le monde sans compromettre votre propre santé et bien-être.
C’est un point sur lequel je travaille depuis plusieurs mois avec mon coach, Thomas Gibot, car j’avais jusqu’ici tendance à être trop gentille, et à éviter le conflit au maximum.
Le problème, c’est que lorsque les limites ne sont pas posées, le clash devient inévitable.
Dire non, est non seulement un droit mais une nécessité pour maintenir un équilibre personnel et professionnel sain.
Cela peut signifier refuser une demande qui surchargerait votre emploi du temps, ou affirmer votre désaccord face à une décision de dernière minute, ou encore définir des limites claires pour éviter l’épuisement.
Mais c’est souvent plus facile à dire qu’à faire.
Fixer des limites efficaces requiert de la clarté dans la communication et la fermeté dans l’exécution.
Une méthode consiste à être transparent sur vos capacités et disponibilités lors de l’assignation de nouvelles tâches. Vous pouvez aussi expliquer simplement les raisons de vos décisions peut aider les autres à comprendre vos limites sans ressentir de rejet. Enfin, accordez-vous des périodes de déconnexion : Coupez les réseaux sociaux, les emails , les Whatsapp. ou les appels pour préserver votre bien-être mental.
Si vos clients ou collaborateurs ne comprennent pas ces limites, alors il est peut-être temps d’arrêter la collaboration.
8. L’insatisfaction vous aide à vous débarrasser de ce que vous ne voulez pas
L’insatisfaction est un puissant moteur de changement. C’est un signal qui vous permet de prendre conscience et de modifier certains aspects de votre vie professionnelle.
Si certaines tâches, responsabilités ou même relations ne sont plus en phase avec vos valeurs ou objectifs, avoir le courage de les laisser partir est essentiel.
Cela libère non seulement des ressources mais ouvre également l’espace nécessaire pour accueillir de nouvelles opportunités plus alignées avec vos aspirations.
L’insatisfaction ne doit pas être vue uniquement comme un signe négatif; elle peut aussi être un indicateur utile pour le besoin de croissance et d’innovation.
Évaluer régulièrement ce qui fonctionne ou non dans votre rôle actuel vous aidera à identifier les domaines qui nécessitent des ajustements ou des améliorations.
Agir sur ces sentiments d’insatisfaction vous mènera à des découvertes et des succès qui auraient été impossibles si vous étiez resté dans votre situation actuelle.
Conclusion
La gestion des équipes et d’un business va bien au-delà de la simple supervision des tâches et de la performance. Elle exige une compréhension nuancée des dynamiques humaines et une capacité à créer un environnement où la motivation, l’innovation, et le bien-être personnel sont en équilibre.
J’espère que ces notes vous encourageront à examiner et à améliorer vos propres pratiques. Gérer une entreprise demande de se remettre en question, d’apprendre et de s’adapter, chaque pas pris avec intention est un pas vers la réalisation de vos aspirations les plus élevées.
Il me semble que cela fait une éternité depuis notre dernier échange, et j’ai plein de nouvelles excitantes à partager avec vous !
Mon entreprise a pris un tournant passionnant et j’ai eu envie de vous parler des coulisses de cette transformation.
Bonne lecture ! ❤️
Pourquoi j’ai été moins présente ici
Vous m’avez manqué.
Mon activité se porte tellement bien que j’ai la même problématique que la plupart de mes clients : je manque de temps pour mon propre business.
C’est simple :
Je n’ai plus de place sur mon Calendly avant la fin juin,
je n’ai plus l’espace mental ni le temps d’écrire mes newsletters,
mes journées sont moins structurées qu’avant,
je me mets beaucoup de pression et je suis fatiguée.
En quelques semaines, mon entreprise a pris une nouvelle tournure.
Après avoir rejoint OBM Squad, j’ai entièrement revu mes offres et les ai intégrées directement sur mon site internet, avec leurs contenus et leurs tarifs.
Puis, j’ai communiqué dessus sur LinkedIn et en quelques semaines, mon carnet de commandes s’est rempli avec des contrats qui vont de 3 mois à un engagement annuel. (si tout va bien)
Et c’est super !
J’ai trouvé un modèle qui me plaît, et sur lequel il y a de la demande.
Pour le moment, tous mes clients sont satisfaits de mon travail.
J’en suis donc ravie, même si je fais face à de nouveaux challenges.
La prochaine étape : structurer et déléguer
J’en suis donc à l’étape délicate de structurer, automatiser et déléguer pour reprendre la main sur mon temps. Et c’est une étape difficile pour plusieurs raisons.
Auditer mon temps
Avant de déléguer ou d’automatiser quoi que ce soit, je vais auditer mon temps pendant un mois. Cette étape va me permettre d’identifier ce qui me prend du temps, ce que je vais automatiser, ce que je vais garder (les tâches à forte valeur ajoutée), ce que je vais déléguer et ce que je vais éliminer. Je vais utiliser Toggl, un traqueur de temps, durant tout le mois de mai.
Automatiser ce que je peux
J’ai déjà fait appel à Adri Peyruse, spécialiste de l’automatisation des emails, pour qu’elle revoie ma stratégie d’emails et qu’elle m’accompagne sur le sujet.
Vous ne me verrez bientôt plus sur Substack mais sur une autre plateforme, qui me permettra de vous envoyer des e-mails plus ciblés, sur des sujets qui vous concernent davantage.
Par exemple, si nous identifions que vous êtes intéressés par la conception de supports pédagogiques, vous recevrez des emails sur ce sujet. Et si c’est le métier d’OBM qui vous intéresse, vous recevrez des emails plutôt sur cette thématique.
Vous voyez ?
Pour le reste des tâches à automatiser, je pense que je demanderai à ma future assistante virtuelle de s’en occuper. Elle est très douée sur ce sujet et je lui fais une confiance aveugle.
Prendre une assistante virtuelle
J’avais envisagé d’en prendre une l’an dernier, mais c’était prématuré.
Aujourd’hui, c’est le moment, je le sais car tout se coordonne comme je le souhaitais :
J’ai des contrats à long terme
J’ai une personne formidable en tête
J’ai besoin et envie d’y aller
J’ai le budget.
À mon sens, déléguer trop rapidement peut être une perte pour l’entreprise.
Il faut donc que cette décision soit réfléchie et vienne au moment où vous souhaitez faire levier pour passer au prochain niveau.
Typiquement, dans mon cas, je me suis vue refuser des opportunités de business car je savais que je ne pourrais pas les gérer.
C’est très frustrant.
Mes sentiments : l’excitation, la pression, la frustration et la peur
Je suis pleine de gratitude face à tout ce qui m’arrive et même si je savoure ces succès, je reste aussi lucide face à la suite. Si je veux que ce virage fonctionne et que mon ascension perdure, je dois :
Rendre mes clients heureux et les fidéliser.
Prendre soin de moi, de mon hygiène de vie et de ma santé mentale, pour rester performante.
Prendre un peu de risques en faisant confiance aux autres, même si déléguer est difficile.
Je suis partagée entre l’excitation et la gratitude, pour tout ce qui m’arrive, mais aussi la pression et la peur d’échouer, et la frustration de manquer de temps pour faire tout ce que je souhaite (lancer mes infoproduits, tourner des vidéos, publier plus de contenus ou profiter de ma famille).
Vous, ma communauté
J’ai aussi conscience que même si j’ai travaillé pour atteindre ces objectifs, vous y êtes aussi pour beaucoup. Vous, mes lecteurs, ma communauté, ceux et celles qui me soutiennent depuis mes débuts et jusqu’à aujourd’hui.
J’ai un merci tout particulier à adresser à :
Christophe Chene, Caroline Rousset, Delphine Auger, Marc Baudy, Benjamin Allouch, Marie-Laure Deschamp, Brice Trophardy, Aurore Petrus, Fabian Delhaxhe, Jeanne Lesbordes, Jean-Baptiste Baron, Thibault Louis, Flora Pollefort,Sophie Keghian, Mickaël Auguy, Manon Tournant, Jean-Claude Lauriola… et bien sûr mon Mari, mes enfants, mon frère et mes parents.
Je ne peux pas mentionner tout le monde, mais globalement, tout ceux et celles qui likent, commentent, soutiennent mon ascension de façon positive et bienveillante.
J’ai souvent peur de vous décevoir, de lasser, de ne pas être à la hauteur de vos attentes. Et je suppose que c’est le lot de tous les créateurs de contenu.
Je me demande parfois si ma ligne éditoriale sous mes posts, ou ici, vous plaît toujours, et je profite de cette newsletter pour vous inviter à m’écrire sur sophie@lachouettecreative.com si vous avez envie que j’aborde des sujets en particulier, ou si certains contenus vous ont particulièrement plu ou au contraire déçu.
Ce genre de retours est une mine d’or, alors je remercie ceux qui prendront ce temps.
En échange, je vous propose de me poser la question de votre choix (sur votre positionnement, votre stratégie, votre produit en ligne ou sur votre personal branding), je prendrai le temps de vous répondre. 🙂
Conclusion
Après 9 ans de business et 4 ans de tâtonnement pour prendre un virage qui me plaît, j’ai enfin l’impression que les planètes s’alignent pour moi et je suis pleinement reconnaissante envers les personnes qui m’ont soutenu, recommandé, aidé d’une quelconque façon.
Je suis dans une période challengeante, que je savoure pleinement, même si elle apporte son lot de difficultés et de questionnements. C’est tout le bonheur d’être entrepreneur : nous vivons une aventure extraordinaire.
Lors de mes coachings, je recommande aux entrepreneurs que j’accompagne de ne jamais dépendre d’un client à plus de 20% sur leur business.
Si ce conseil vaut pour les clients, cela vaut aussi pour les sources de revenu.
Dans cette newsletter, nous allons explorer 12 méthodes efficaces pour diversifier vos revenus grâce au web.
Bonne lecture.
Pourquoi c’est important ?
Vous sécuriser et innover
Les mouvements de votre chiffre d’affaires influencent directement votre trésorerie. Et votre trésorerie impacte votre capacité à investir, à améliorer vos compétences, à acquérir des outils performants ou à déléguer certaines tâches de votre activité.
Si vous subissez trop de baisses de revenus sans pouvoir les contrôler, vous risquez de vous retrouver dans une spirale, dans laquelle investir pour croître ou même maintenir votre entreprise devient impossible.
S’appuyer sur une seule source de revenu peut donc être risqué.
Les marchés fluctuent, les tendances changent et les besoins des clients évoluent.
Avoir plusieurs flux de revenus peut non seulement augmenter la stabilité financière de votre entreprise, mais aussi vous donner l’opportunité de tester de nouvelles idées et de vous adapter rapidement aux changements sans mettre en péril votre entreprise.
Garder le moral et éviter le doute
Imaginez qu’un client important décide soudainement de ne plus travailler avec vous, sachant que ce contrat représente entre 70 et 80 % de votre chiffre d’affaires…
Vous risquez de paniquer, et de vous sentir vulnérable.
Diversifier signifie moins de pression et plus de liberté pour innover et expérimenter. Vous pourrez gérer avec moins de stress les périodes creuses.
Devenir une figure d’autorité
Par ailleurs, en ayant plusieurs sources de revenus, vous allez créer un écosystème de services et/ou de produits qui renforce votre crédibilité et élargit votre offre de valeur dans votre domaine d’expertise. Vous aurez alors davantage de légitimité et serait perçu comme une figure d’autorité dans votre domaine.
Petites précisions
Attention, avant de poursuivre, je ne vais pas vous proposer des méthodes pour générer un revenu facile ou rapide sans effort. Je ne tiens pas à faire l’apologie du mythe des revenus passifs qui ne nécessitent aucun travail.
Ça n’existe pas.
L’idée n’est évidemment pas d’exploiter toutes ces possibilités à la fois.
Ce serait une perte d’énergie considérable, et un manque de stratégie flagrant. En revanche, avoir 2 à 3 sources de revenu en simultané peut vous aider à vous sécuriser.
1. La prestation de service
Trop souvent, les entrepreneurs cherchent la facilité en voulant générer des revenus asynchrones. Pourtant, la prestation de service reste à ce jour, le moyen le plus simple de gagner sa vie en tant qu’indépendant.
Que vous soyez consultant, développeur, designer ou rédacteur, la prestation de services vous permet de monétiser directement vos compétences.
Pour diversifier vos revenus dans ce domaine, envisagez d’élargir votre offre à des services complémentaires ou de niche qui peuvent attirer différents segments de marché.
Par exemple, un designer graphique pourrait proposer la création de logos, mais aussi de branding complet, de design de packagings ou encore la création de supports marketing digitaux.
En personnalisant vos services selon les besoins de vos clients, vous pouvez non seulement augmenter votre base de clients, mais aussi justifier des tarifs premium pour des services spécialisés.
2. Fidéliser sa clientèle
Conserver un client coûte généralement moins cher que d’en acquérir un nouveau, donc investir dans la fidélisation peut considérablement augmenter votre rentabilité à long terme.
Développer une relation solide avec vos clients peut mener à des missions récurrentes et des recommandations qui élargiront votre réseau professionnel.
Considérez des stratégies telles que la mise en place de programmes de fidélité, l’offre de consultations gratuites pour des services futurs, ou encore des communications régulières via des newsletters.
4. Diversifier sa clientèle
En tant qu’entrepreneur du web, vous avez la possibilité de toucher des marchés variés à travers le monde.
Commencez par analyser les tendances de différents secteurs d’activité et régions géographiques pour identifier de nouveaux marchés potentiels. Il peut s’agir d’adapter vos offres pour répondre aux besoins spécifiques d’industries comme l’éducation, la santé ou le e-commerce.
En élargissant votre cible, vous ne dépendez pas uniquement des fluctuations d’un seul marché ou secteur, ce qui sécurise vos revenus sur le long terme.
5. Multiplier ses offres
Un coach en développement personnel peut par exemple, compléter ses services par des cours en ligne, des ebooks, ou des conférences payantes.
À titre d’exemple, si vous êtes freelance, vous pouvez décliner différents formats tels que :
de l’audit stratégique
du consulting en visio (better call, en vogue sur LinkedIn)
du coaching individuel ou de groupe
du mentorat
des ateliers en ligne ou en présentiel
de la gestion de projets…
Analysez les besoins et les préférences de votre clientèle existante pour identifier les produits qui pourraient les intéresser. Interrogez-là par le biais d’enquête par exemple ou via un call informel.
Cette approche vous permet non seulement de proposer de la valeur ajoutée à vos clients, mais également de maximiser le panier moyen par client.
6. Faire de l’apport d’affaires
L’apport d’affaires, ou l’affiliation, est une excellente manière de diversifier vos revenus sans devoir développer de nouveaux produits ou services vous-même.
Vous pouvez générer des commissions en recommandant les produits ou services d’autres entreprises à votre réseau.
Commencez par sélectionner des partenaires dont les offres complètent les vôtres ou qui partagent des valeurs similaires.
Il est important de choisir des partenaires fiables et respectés pour maintenir la confiance de vos clients.
Ensuite, intégrez des liens d’affiliation dans votre contenu existant, comme vos posts, articles de blog, vidéos, ou newsletters, et assurez-vous de divulguer clairement ces partenariats à votre audience.
L’affiliation peut devenir une excellente source de revenus passive significative si elle est correctement mise en œuvre.
7. Vendre une formation en ligne
La vente de formations en ligne est un moyen puissant de monétiser votre expertise. Vous possédez forcément des compétences et des connaissances que d’autres peuvent trouver précieuses.
Créez des cours qui répondent aux problèmes de votre audience ou qui leur enseignent de nouvelles compétences.
Utilisez des plateformes comme Teachable, Udemy, ou votre propre site web pour héberger et vendre vos cours, ou encore systeme.io.
Assurez-vous que vos formations soient bien structurées, engageantes et qu’elles offrent un vrai retour sur investissement pour vos clients.
En plus de générer des revenus, les formations en ligne vous positionnent comme une autorité dans votre domaine, ce qui peut améliorer votre branding et attirer de nouveaux clients pour vos autres services.
8. Proposer des produits digitaux à petits prix
Les produits digitaux à petits prix peuvent rapidement devenir une source lucrative de revenus, surtout si vous parvenez à les vendre en volume.
Ces produits, tels que des mini-formations vidéos, des ebooks, des templates Canva, des checklists, ou des packs de graphiques, sont attrayants pour les clients car ils offrent une solution immédiate à un besoin précis à un coût faible.
Commencez par identifier les problèmes communs auxquels votre audience est confrontée et créez des produits digitaux qui offrent des solutions concrètes.
Assurez-vous que la qualité est au rendez-vous et que le processus de téléchargement est simple pour l’utilisateur.
Promouvoir ces produits à travers vos canaux de communication habituels et envisager des offres spéciales ou des bundles pour augmenter les ventes.
C’est la stratégie utilisée par de nombreux entrepreneurs du web, tels qu’Antoine BM ou Eliott Meunier.
9. Monétiser un blog
Si vous avez déjà un blog avec un trafic régulier, plusieurs options s’offrent à vous : la publicité directe, les articles sponsorisés, ou l’affiliation.
Pour la publicité, envisagez d’utiliser des réseaux comme Google AdS qui placent des annonces pertinentes en fonction du contenu de votre blog et de vos visiteurs.
Les articles sponsorisés, où des entreprises paient pour que vous parliez de leurs produits ou services, peuvent également être très rentables, surtout si votre blog jouit d’une bonne réputation dans votre niche.
Enfin, recommander des produits en tant qu’affilié vous permet de percevoir une commission sur les ventes réalisées grâce à votre recommandation.
10. Monétiser une chaîne YouTube ou un podcast
Si vous créez du contenu engageant et régulier, vous pouvez tirer profit de la publicité, des sponsorisations, et du marketing d’affiliation.
Pour YouTube, après avoir rejoint le Programme Partenaire YouTube, vous pouvez commencer à gagner des revenus publicitaires.
Pour un podcast, les opportunités de sponsorisation peuvent être particulièrement lucratives ; vous pouvez négocier des accords avec des marques qui souhaitent s’adresser directement à votre audience ciblée.
En sachant à quel point ce type de support est complexe et coûteux, il me semble indispensable de réfléchir rapidement à des solutions de monétisation.
11. Lancer une newsletter payante
Maud Alavès vient d’annoncer que sa newsletter devenait payante.
Avec la valeur qu’elle apporte chaque semaine depuis plusieurs années et le travail que représente ce type de support, je ne suis pas surprise de cette décision.
En France, il existe encore peu de newsletters payantes, toutefois, je pense que ça pourrait tout à fait se développer.
Une newsletter payante offre un contenu exclusif, approfondi et souvent personnalisé qui justifie un abonnement. Utilisez des plateformes comme Substack pour configurer votre abonnement.
Pour encourager les inscriptions, proposez un mélange de contenu gratuit et payant, en réservant vos analyses les plus précieuses et vos conseils les plus détaillés pour les abonnés payants.
Pour en faire une réussite, assurez-vous de fournir suffisamment de valeur pour que vos abonnés ressentent que l’investissement en vaut la peine, ce qui peut également aider à réduire le taux de désabonnement.
12. Créer une communauté payante
Les communautés, gratuites ou payantes, sont très à la mode. Beaucoup de créateurs développent la leur, seule ou en complément d’autres produits / services. À mon sens, ça va continuer à s’étendre.
Une communauté payante offre à ses membres un accès exclusif à du contenu, des ressources, des événements en ligne, et des interactions directes avec vous et entre membres.
Plateformes comme Discord ou Slack permettent de créer facilement de telles communautés.
Pour encourager les inscriptions, mettez en avant les avantages de rejoindre votre communauté, tels que des webinaires privés, des sessions de coaching de groupe, ou des contenus personnalisés.
Il est primordial que les membres ressentent un véritable retour sur leur investissement, que ce soit par l’accès à des informations exclusives ou par le soutien d’une communauté soudée.
Attention, pour avoir contribué à l’animation de communautés, je sais que :
Il peut être difficile de maintenir l’engagement des membres sur le long terme.
Les gens s’inscrivent souvent avec enthousiasme, mais leur intérêt peut s’estomper avec le temps.
Animer une communauté demande du temps et des ressources.
Il faut régulièrement créer du contenu, répondre aux questions et gérer les interactions.
Il faut également surveiller les conversations pour éviter la diffusion d’informations erronées, les débats houleux ou les comportements inappropriés est nécessaire.
Il peut être compliqué de mesurer l’efficacité des activités communautaires et de déterminer si elles contribuent aux objectifs de l’entreprise.
Mais bien animée, la communauté payante permet de fidéliser votre audience et c’est un support rentable sur le long terme.
13. Publications sponsorisées et partenariats
Que ce soit sur les réseaux sociaux, dans un blog, ou via une newsletter, collaborer avec des marques peut non seulement générer des revenus directs, mais aussi ajouter à la crédibilité et à la visibilité de votre propre marque.
Identifiez des partenaires potentiels dont les produits ou services résonnent authentiquement avec les intérêts de votre audience.
Il est essentiel de maintenir la transparence avec votre audience en divulguant la nature sponsorisée des publications. Cela renforce la confiance de vos followers et assure le respect des régulations en vigueur.
Conclusion
Diversifier vos sources de revenus en tant qu’entrepreneur du web n’est pas seulement une stratégie pour augmenter vos gains, c’est également un moyen efficace de sécuriser votre activité contre les imprévus et de maintenir une croissance stable.
Chacune des stratégies offre une opportunité de capitaliser sur vos compétences, d’étendre votre réseau, et de renforcer votre marque.
Je vous encourage à expérimenter, à évaluer leur efficacité et à les ajuster selon les réactions de votre audience et les résultats obtenus.
Rappelez-vous, la clé du succès se situe dans l’action, et dans votre capacité à innover, à vous adapter et à rester attentif aux besoins de vos clients.
Prenez le temps d’analyser les options qui s’alignent le mieux avec vos objectifs à long terme et qui résonnent avec les valeurs de votre marque.
Vous êtes désormais 1490 à me suivre à travers cette newsletter, et je me suis dit qu’il était temps que je vous parle de mon parcours.
Après plus de 20 ans d’expérience en communication, dont presque 10 ans en solo, en tant que consultante en communication, j’ai fait évoluer mon business.
Comment je m’y suis prise ? Quelles ont été les grandes étapes ?
Je vous raconte tout.
Bonne lecture ❤️
Mes débuts dans l’entrepreneuriat
Après 10 ans de salariat qui se sont soldés par un licenciement économique, j’ai créé mon entreprise en 2015 en tant que graphiste webdesigner.
À l’époque, j’avais 30 ans, deux enfants de 3 et 5 ans. Venant d’une famille modeste, ayant grandi à la campagne, je n’avais pas les codes, ni la culture entrepreneuriale. Je me suis lancée sans ambition, « juste pour voir« , avec pour objectif principal de concilier ma vie de maman et mon métier.
Mon entreprise a rapidement fonctionné puisque j’ai atteint les 100 000€ de chiffre d’affaires dès la première année. Et j’ai pris goût à l’indépendance et à l’entrepreneuriat. J’ai commencé à écouter des podcasts, à lire des livres business, à me cultiver sur le sujet.
Peu à peu, je me suis diversifiée jusqu’à devenir consultante en communication. J’accompagnais mes clients dans la conception de leur site WordPress, charte graphique, supports divers.
Tout se passait bien.
Mais à partir de 2019, je commençais à stagner et à me sentir « étriquée » dans mon rôle.
Je ressentais le besoin d’évoluer, d’aller plus loin dans mes compétences, et de me challenger.
Embauche, side project et reprise d’études
1. Des bureaux et une embauche
En discutant avec des confères et en faisant un bilan de ma situation avec la CCI, on m’a conseillé de prendre des bureaux et d’embaucher pour faire grandir ma structure et la transformer en agence.
Je n’étais pas certaine que le format d’agence allait me plaire, mais comme je n’avais pas d’autres idées, j’ai suivi. J’ai embauché un contrat pro. et pris des bureaux.
J’ai testé 6 mois, mais ça ne me correspondait pas :
Aller au bureau était une contrainte, je trouvais les frais et les déplacements inutiles.
Et je n’étais absolument pas formée en management et leadership.
Conséquence : j’étais médiocre dans mon rôle de « patronne ».
Je me suis séparée de mon apprentie et de mes bureaux en février 2020.
Puis le COVID est arrivé.
2. Sorêve, un side-projet e-commerce
Sur un coup de tête, j’ai lancé une seconde entreprise (Sorêve), un business e-commerce de vente d’affiches régionales, avec mon mari.
Ça a fonctionné 2 ans, mais une nouvelle fois, ce business n’était pas aligné avec ce que je projetais : Trop de contraintes, peu de rentabilité.
Je l’ai fermé en 2022.
Si vous souhaitez connaître l’histoire de ce side-project, j’en avais fait un post en décembre 2022 : Lien vers le post
3. La reprise d’études
De 2021 à 2022, en parallèle de La Chouette Créative, de Sorêve et de ma vie de maman, j’ai repris un Bachelor en Marketing Digital et Innovation, sans savoir ce que ça allait m’apporter. J’y ai appris la gestion de projet, le management, le leadership, les financements, l’IA, la data… Autant de sujets qui me serviront pour la suite.
La découverte de LinkedIn
Novembre 2022 : je suis déprimée.
Le Bachelor en poche, je ne sais toujours pas quelle direction prendre.
En 2 ans, j’ai embauché puis me suis séparée d’une salariée, j’ai créé puis fermé un side business, j’ai repris une année d’études. Pourtant, j’ai l’impression d’être toujours au même point : je m’ennuie dans mon job de consultante en communication, et je n’arrive pas à le faire évoluer.
Et c’est en me lançant sur LinkedIn que j’ai peu à peu trouvé ma voie.
À cette époque, je suis une lectrice « fantôme » sur LinkedIn, c’est-à-dire que je suis des gens mais n’interagis pas, et je ne poste pas.
Je suis des personnes comme Thibault Louis, Nina Ramen, Maud Alavès, et quand je les lis, je suis à la fois impressionnée par leurs résultats, et curieuse de savoir comment ils ont fait.
Et je les envie.
Je me dis : « ces gamins ont 10 ans de moins que moi, et ils font mieux que moi, en moins de temps ».
J’écoute alors mon intuition, et je décide à mon tour, de me lancer sur LinkedIn, sans trop savoir où ça va me mener. Je prends d’abord la formation de Valentine Sauda, en copywriting, puis j’enchaîne avec le bootcamp de Thibault Louis.
Une année de tests
Très rapidement, je prends goût à la création de contenu.
Ça m’amuse, ça me stimule et me challenge.
Les premiers mois, je ne cherche pas à vendre, mais à comprendre les codes.
J’essaie de savoir pourquoi certains posts fonctionnent et pas d’autres, j’essaie d’affiner mon style d’écriture, je me nourris des contenus des performers français et américains.
Le copywriting m’apprend à clarifier mes idées et à m’affirmer, en prenant position et en m’exposant.
Je prends peu à peu confiance en moi, et je teste.
J’ai testé plusieurs offres : illustrations, coachings, bootcamp… Parfois ça prend, parfois ça floppe, mais l’échec ne me fait pas peur.
C’est plutôt l’idée de continuer à stagner qui me rend malade.
Les mois passent, et malgré quelques succès, en septembre 2023, je commence à douter sérieusement.
En effet, j’ai réussi et je suis fière d’avoir réussi à créer une audience rapidement sur le réseau, mais, je n’ai toujours pas pris le virage que je souhaitais. Les offres que j’ai développé n’ont soit pas fonctionné, soit étaient peu rentables, soit ne m’épanouissaient pas.
Bref ! Je tourne en rond, et je n’ai pas (encore) de solutions.
Online business manager : la découverte
Malgré tout, dans l’ombre et depuis le mois de juillet, j’apporte mon soutien à Thibault Louis et son équipe sur différents projets : La création et l’animation de sa communauté Les Punks du Web, la création de son support pédagogique Solopreneur d’Élite, la conception de page de vente, le closing de ses bootcamps, etc. Je l’aide à évaluer ses offres, à développer sa stratégie business.
Je suis à la fois dans l’opérationnel et dans la vision stratégique, et j’adore ça.
C’est en pratiquant auprès de lui que je me suis aperçue que mon Bachelor avait finalement été utile pour la gestion de projet, le marketing ou encore la vision stratégique.
Mais c’est seulement en novembre 2023 que je me dis que je peux proposer ces services à d’autres entrepreneurs.
Je lance alors un post sur LinkedIn expliquant tout ce que j’ai fait pour lui, et les premiers leads tombent.
OBM : Le lancement
À cette période, je n’ai pas posé de nom sur mon métier, alors je propose d’accompagner des entrepreneurs dans le lancement de leurs produits en ligne.
Je crée une offre package et c’est parti.
J’ai rapidement 6 clients pour lesquels je m’occupe de créer le support pédagogique, tunnel de vente, et stratégie de communication. Entre décembre 2023 et aujourd’hui, je teste le modèle et j’ajuste peu à peu mon offre.
Et je découvre en parallèle le métier d’OBM : Online Business Manager.
Elle prend en charge tout le quotidien (projets, systèmes, opérations, équipes) pour libérer le CEO de l’opérationnel. Elle agit dans l’ombre, pour transformer la vision de l’entrepreneur en action.
Ses fonctions sont proches d’une VA mais avec un rôle davantage orienté sur la stratégie, elle est moins dans l’opérationnel. Ce n’est pas une executante.
Certaines OBM ont des spécialités, par exemple, moi, je suis spécialisée dans le marketing et la communication.
Les fonctions clés de l’OBM :
Gestion de projets : L’OBM organise et suit le bon déroulement des projets, assurant l’efficacité et l’alignement avec les objectifs stratégiques.
Gestion des opérations : Elle coordonne les opérations quotidiennes, s’assurant que les processus sont maintenus et améliorés.
Gestion de l’équipe : L’OBM prend en charge le recrutement, l’intégration et la gestion des membres de l’équipe, permettant au CEO de se détacher de ces aspects.
Suivi des KPIs : Elle établit et suit les indicateurs clés de performance pour mesurer l’efficacité et ajuster les stratégies en conséquence.
Mes ambitions pour la suite
À l’heure où je vous écris, je viens d’intégrer le programme OBM Squad, dédié à former les meilleures Online Business Manager de France. Mon objectif est de devenir incontournable dans ce domaine. Je démarre le programme lundi 1er avril 2024.
Conclusion
En partageant mon parcours avec vous, mon but est de mettre en lumière un aspect fondamental de l’entrepreneuriat : l’importance de tester, d’accepter l’échec, et de continuer à chercher sa voie, même en incertitude.
J’ai fait beaucoup de tests, certains concluants, d’autres moins. Mais c’est précisément dans cette démarche que j’ai pu me découvrir, apprendre et grandir.
L’échec s’est révélé être un puissant moteur de réflexion.
Il m’a permis de mieux comprendre mes désirs réels, mes forces, mais aussi mes limites, et de les accepter.
Le monde de l’entrepreneuriat est intrinsèquement lié à l’incertitude et au changement. Il demande une capacité à se remettre en question, à innover et à se réinventer continuellement. Embrasser cette incertitude, c’est s’ouvrir à de nouvelles opportunités, même si cela implique de sortir de sa zone de confort, de tester de nouvelles idées, de faire face à des échecs et de persévérer malgré tout.
Je vous encourage, vous aussi, à voir l’échec non pas comme un obstacle, mais comme un escalier vers votre succès.
Chaque faux pas, chaque erreur, vous rapproche un peu plus de la version la plus épanouie de vous-même et de votre entreprise.
Ne craignez pas de tester, d’échouer et de recommencer.
Le chemin de l’entrepreneuriat n’est pas linéaire. Alors, continuez d’explorer, d’apprendre et de grandir. Votre quête est unique, et c’est ce qui la rend si précieuse.
Toutefois, nombreux sont ceux qui s’y essaient et qui ne parviennent pas à vendre le moindre produit.
Depuis plusieurs mois, j’accompagne des entrepreneurs dans la conception et la promotion de leur produit, et je vais vous partager les étapes clés pour maximiser vos chances de succès.
Je m’appuierai sur l’exemple de deux cas clients :
Solopreneur d’Élite de Thibault Louis : un manuel destiné aux solopreneurs, offrant toutes les clés pour réussir leur entreprise, notamment comment :
Créer des offres irrésistibles,
Cibler des clients à haute valeur,
Déléguer efficacement,
Exceller sur LinkedIn, créer une newsletter et un podcast vidéo,
Acquérir l’état d’esprit financier des meilleurs solopreneurs.
La Bible Malt d’Emmanuel Bismuth : une formation pour maîtriser les secrets de la plateforme Malt, incluant :
La création et l’optimisation d’un profil captivant,
La compréhension et l’exploitation de l’algorithme de Malt,
L’obtention d’avis clients notés 5/5,
La réussite des premières missions sur Malt,
La gestion du temps pour gagner plus de 4 heures par semaine,
100 astuces pour devenir un incontournable sur Malt.
J’ai eu le privilège d’accompagner ces deux clients dans la conception ou la promotion de leur matériel pédagogique, et je vais vous dévoiler notre démarche étape par étape.
Bonne lecture ❤️
Au sommaire
LE SUPPORT PÉDAGOGIQUE
Définir l’idée et la cible
La création du contenu
Le choix de la plateforme
LA VENTE
Pricing et Upsell
Marketing et lancement
Ventes et suivi
AMÉLIORATION CONTINUE
Collectez des feedbacks
Mise à jour
Promotion continue
CONCLUSION
LE SUPPORT PÉDAGOGIQUE
1. Définir l’idée et la cible
Il peut sembler basique, mais l’idée et la cible constituent les fondations de votre support pédagogique.
L’idée : Si votre idée n’est pas claire, elle ne le sera pas non plus pour votre audience, et vous ne parviendrez pas à la valoriser, et donc à la vendre. Trouvez votre niche en sélectionnant un sujet dans lequel vous êtes expert et qui intéresse également votre audience.
Un autre moyen consiste à répondre à vos propres problèmes. En effet, si vous avez eu une problématique et que vous avez eu du mal à trouver la solution, vous n’êtes sans doute pas le seul. Si vous êtes parvenu à la résoudre, vous pouvez documenter le processus et envisager de le vendre.
La cible : Pour la cible, c’est un peu la même chose. Le pire moyen d’échouer est de s’adresser à tout le monde. Je vous recommande donc d’analyser votre audience : Identifiez les douleurs, les problèmes et les désirs de votre public cible.
Si besoin, utilisez les sondages sur LinkedIn, ou créez-en un sur Typeform, réalisez des entretiens, des cafés visio, etc. L’objectif est de valider votre idée ou d’en trouver une.
2. La création du contenu
Avant tout, préparez un plan (même non abouti) de votre support pédagogique, et organisez-le en chapitres logiques. Peut-être qu’il évoluera en cours de route, mais ça vous donnera une méthode et une structure pour avancer.
Pour une formation, mixez les formats (vidéo, audio, texte, quiz) pour rendre l’apprentissage plus interactif.
Pour un ebook ou un manuel, concentrez-vous sur la valeur du contenu rédigé de qualité et les illustrations.
Le cas de Solopreneur d’Élite :
Thibault recherchait une personne capable de l’accompagner à créer un support pédagogique regroupant l’ensemble de ses apprentissages. Il avait déjà le plan, mais il n’arrivait pas à avancer, et ne trouvait personne pour s’adapter à ses méthodes de travail.
Dans son cas, nous sommes donc partis de son plan, et nous avons convenu qu’il m’envoie un vocal par jour et par thématique. Pendant plusieurs semaines, Thibault m’a donc envoyé les notes vocales de ses contenus via WhatsApp.
J’ai ensuite utilisé vook.ai pour les transposer à l’écrit. Puis, j’ai demandé à ChatGPT de les reformuler en conservant le ton et le style de Thibault.
Voici le prompt utilisé :
“Je suis l’assistante de Thibault, un entrepreneur français qui écrit un manuel dédié au solopreneuriat. Je dois rédiger son support pédagogique à partir des vocaux retranscrits ci-dessous.
Peux-tu me rédiger le contenu ci-dessous en conservant à l’identique les propos de Thibault. Utilise le vouvoiement dans tes formulations. Peux-tu me proposer des chapitres et une hiérarchie pour ce contenu.”
Quand ce n’était pas à la hauteur, je reformulais moi-même. J’ai transposé cela sur un Notion, puis je l’ai enrichi de photos, de mèmes, de liens, etc.
Le cas de La Bible Malt :
Pour Emmanuel, le fonctionnement a été différent. Emmanuel avait déjà de nombreux contenus (Masterclass, vidéos, PowerPoint, notes écrites à divers endroits), mais il n’avait pas de plan pour la Bible.
Je lui ai donc recommandé de réfléchir à une structuration. À partir de ça, c’est lui qui a rédigé les contenus textes et tourné ses vidéos par lui-même.
J’ai simplement eu à intégrer le contenu textes + vidéos + masterclasses dans le Notion et à l’illustrer. Le travail du contenu a été plus rapide pour moi.
3. Le choix de la plateforme
Pour les formations, il existe de nombreuses plateformes : Systeme.io, Podia, Moodle, Articulate, Teach up, Teachable, ClickFunnels, Learnybox, Formator, Kajabi, etc. Elles offrent des outils complets pour héberger votre formation, gérer les inscriptions, et traiter les paiements.
Votre choix doit être fait en fonction de vos besoins et de ce que vous souhaitez offrir comme parcours à vos utilisateurs.
Pour le manuel comme celui de Solopreneur d’Élite, ou pour la formation La Bible de Malt, nous avons choisi Notion.
Notion est très facile d’utilisation, rapide à mettre en œuvre, et pratique à enrichir régulièrement. De plus, c’est un support qui offre la possibilité de naviguer de chapitre en chapitre en toute liberté. Emmanuel et Thibault avaient tous les deux envie que leurs supports soient consommés comme en “snack content”.
Pour sécuriser l’accès à la formation et automatiser les inscriptions, c’est l’équipe de Maddalena Martini, VA World, qui s’en est chargée, en connectant Sotion et Zappier à Notion.
LA VENTE
1. Pricing et Upsell
Concernant le tarif, si vous êtes sur un manuel ou ebook misez sur un tarif abordable (entre 30 et 250€). Les produits digitaux sont nombreux, et la valeur n’est pas identique à un coaching ou une prestation complète. Soyez donc cohérent et misez sur le volume et le long terme.
Dans le cas d’une formation complète, le tarif sera à étudier en fonction des prix du marché, de votre cible et de la valeur apportée (certifications, connaissances, compétences, etc.)
Vous pouvez également compléter votre support pédagogique d’un upsell ou downsell. Pour Emmanuel par exemple, nous avons choisi de proposer ses coachings individuels en complément de la Bible dans le parcours d’achat.
Pour le lancement, je vous recommande de commencer par un prix promotionnel et de l’augmenter sous 10 jours pour créer le FOMO.
Le but est d’utiliser votre présence sur LinkedIn et votre newsletter pour teaser le contenu, susciter l’intérêt, puis vendre. Au moment du lancement, organisez des webinaires gratuits, utilisez le marketing par email, et créez des partenariats avec d’autres professionnels pour promouvoir votre produit.
Le cas de Solopreneur d’Élite :
Avec plus de 100 000 abonnés sur LinkedIn, et 3 ans à accompagner des startups et des N°1 solopreneurs, la réputation de Thibault Louis n’est plus à prouver. De plus, c’est un excellent marketeur.
Quelques posts, e-mails, stories Instagram et une masterclass lui ont permis de vendre de nombreux exemplaires. Je n’ai pas eu à l’accompagner sur ce point, mais je l’ai aidé dans la conception de sa page de vente en collaboration avec l’équipe de Maddalena.
Le cas de la Bible Malt :
Dans le cas d’Emmanuel, c’était différent. Bien que régulier dans son contenu LinkedIn, Emmanuel n’avait pas de newsletter quand nous avons démarré.
Nous avons donc commencé par créer une page de capture et organiser une masterclass sur Malt pour récolter des emails et susciter l’intérêt.
Je me suis occupée de créer des visuels pour illustrer ses posts et ses bannières sur Notion, de mettre en forme les contenus pour ses masterclasses. J’ai également créé la page de vente.
3. Ventes et suivi
Mettez en place des séquences d’emails automatiques pour guider les prospects vers l’achat. Au moment du lancement, n’ayez pas peur d’envoyer une série de 3 à 5 mails en une semaine. Mettez en place un ou plusieurs codes promo pour les primo-acheteurs, et communiquez-les à votre audience (sur LinkedIn, par e-mail ou en masterclass).
Support client : Assurez un suivi de qualité après la vente pour encourager des avis positifs et des recommandations.
Le cas de la Bible Malt :
J’ai aidé Emmanuel dans la rédaction de ses posts et emails de lancement. Il a également fait 2 masterclasses la semaine de son lancement, et nous avons mis en place un code promotionnel pour les early adopters.
AMÉLIORATION CONTINUE
1. Collectez des feedbacks
Utilisez les retours de vos clients pour améliorer constamment votre contenu. Vous pouvez envoyer un sondage (anonyme ou non) par e-mails aux acheteurs pour avoir leurs avis en toute transparence.
2. Mise à jour
Actualisez régulièrement votre support pédagogique pour qu’ils restent pertinents et attractifs aux yeux de votre audience.
Thibault Louis a déjà ajouté un bonus à Solopreneur d’Élite en y intégrant L’offre Blitzkrieg, de l’idée au premier euro en 24h. Il y explique comment 24 heures suffisent pour lancer votre produit en ligne.
3. Promotion continue
Parlez régulièrement de votre produit dans vos posts, et placez un lien d’achat dans votre newsletter, vos signatures mails, ou sur vos profils sur les réseaux sociaux.
Vous pouvez également programmer des masterclasses tout au long de l’année, penser à de l’affiliation et des partenariats.
Conclusion
Les produits en ligne sont souvent des side projects. Nous ne pouvons pas être sûrs qu’ils fonctionnent, et souvent, nous procrastinons leur création et l’aboutissement du projet.
En vous engageant avec moi, vous aurez la certitude d’aller au bout et de sortir votre support. Emmanuel et Thibault m’ont tous les deux confié que c’est l’une des choses pour lesquelles je les ai le plus aidés.
La clé du succès réside dans la qualité du contenu, une bonne compréhension de votre audience, et une stratégie de marketing solide. Exploitez votre audience existante sur vos réseaux sociaux et votre newsletter pour maximiser votre portée dès le départ.